Qu’est-ce que le FeLV

Le virus de la leucose féline (FeLV) est un rétrovirus, qui provoque généralement un lymphome, une anémie et une immunodépression chez les chats. Cette maladie sévit dans le monde entier, notamment aux Etats-Unis et le Canada. En Europe, la prévalence de l’infection est à environ un pourcent.
Par ailleurs, dans certaines régions, elle atteint parfois les vingt pourcents. Le taux d’infection par le FeLV a en fait régressé considérablement durant ces dernières années. En effet, des nouveaux tests pour diagnostiquer ce virus ont permis l’élaboration de vaccins plus efficaces.

L’infection et les symptômes

Le FeLV se transmet généralement de chat en chat. La contamination se fait alors par les sécrétions nasales, la salive ou encore le lait lors de l’allaitement. C’est une maladie très contagieuse et extrêmement mortelle. En effet, la gestation provoque une résorption embryonnaire chez les femelles virémiques. À cet effet, les chatons meurent à la naissance ou deviennent virémiques à leur tour et finissent par périr.
Ainsi, chez les chats virémiques, les symptômes les plus fréquents sont l’anémie, et l’immunodépression. Les chats immunodéprimés peuvent par la suite contracter d’autres maladies.
Les symptômes les moins fréquents sont :
• Une maladie à médiation immune, comme la polyarthrite,
• Une inflammation de l’estomac,
• Une dégénération fœtale caractérisée par un avortement,
• Des problèmes neuropathiques tels que la paralysie, la parésie, la mydriase ou encore des miaulements anormaux.

Comment prendre en charge la maladie??

Des soins de grande qualité, accompagnés d’un traitement de soutien par injection de fluide, sont essentiels le plus tôt possible. Afin de prolonger l’espérance de vie de votre chat, l’interféron oméga félin réduit aussi les différents symptômes.
Par ailleurs, l’azidothymidine (AZT) est efficace, sauf que des effets secondaires peuvent apparaître. Un contrôle régulier tous les six mois est alors à prévoir pour les chats infectés par le FeLV, et les animaux infectés doivent impérativement rester à la maison.
En revanche, évitez les corticostéroïdes et les médicaments immunosuppresseurs. D’autre part, le FeLV ne supporte pas le milieu extérieur et s’élimine facilement par des désinfectants comme le savon. Toutefois, le virus peut survivre dans les déjections. Il est donc conseillé de grader une bonne hygiène, et surtout gardez l’animal loin de ses congénères.

Les symptômes de l’arthrose chez le cheval

Si vous remarquez une baisse de performances chez votre cheval ou des boiteries, alors il y a des risques que votre cheval souffre d’arthrose. Il est faux de penser que cette anomalie est uniquement due à la vieillesse. Mais ne vous en faites pas, cela ne signifie pas non plus que votre cheval est condamné.

L’arthrose peut porter le nom de « affection dégénérative articulaire », elle peut correspondre à une érosion du cartilage articulaire engendrant la modification des os ou une perte du rôle d’amortisseur des cartilages. Cela peut se manifester par une inflammation. Pour en être certain, il faut effectuer un diagnostic via un examen radiologique.

Les causes de l’arthrose

L’arthrose peut être causée par une anomalie au niveau du cartilage de l’animal ou par les contraintes de son travail. Par exemple, elle peut être due à un choc articulaire. En effet, certains chevaux travaillent trop, donc l’articulation ne peut pas supporter cela, notamment les articulations immatures. C’est notamment le cas des chevaux trop jeunes qui n’ont presque pas de temps de repos après avoir subi un traumatisme par exemple.

L’arthrose peut également résulter d’un traumatisme articulaire comme le cas d’une entorse ou l’inflammation d’une articulation. Elle peut également être causée par la fatigue. Un cheval qui travaille trop ou qui manque de préparation peut avoir l’arthrose.

L’hipposil pour soulager les douleurs

L’hipposil est un complément alimentaire qui soulage le cheval en cas de douleur au niveau de ses articulations. Même s’il est impossible de guérir totalement votre cheval de l’arthrose, ce complément alimentaire peut l’aider à le soulager.

Composition de l’hipposil

L’hipposil aide à protéger et à restaurer l’intégrité articulaire et tendineuse du cheval en cas d’arthrose. Il a un effet anti-inflammatoire naturel et prévient des troubles notamment des traumatismes que le cheval peut subir. Il est une alternative aux anti-inflammatoires qui sont prohibés. Il est essentiellement composé de harpagophytum, de levure de Bière revivifiable, de spiruline biologique, de silicium, de stéarate magnésium et de maltodextrine.

Rappelons que le silicium organique favorise le maintien du capital osseux. Il réduit également les risques d’ostéoporose, d’arthrose ou d’arthérosclérose. Il protège et donne de la souplesse aux articulations de votre cheval. Le silicium organique, en tant que complément alimentaire, peut être consommé par un cheval même en bonne santé. Ses apports sont très bénéfiques pour maintenir la santé et la souplesse de votre cheval.

Achat et mode d’administration

Pour l’hipposil, vous pouvez en trouver en comprimés et selon la quantité qui vous convient soit de 150 ou de 1000 comprimés. La durée du traitement en hipposil est d’un mois environ. Le nombre de comprimés par jour à prendre dépend du poids de votre cheval. Vous pouvez vous en procurer en ligne, sur les sites spécialisés. Si vous ne pouvez pas vous déplacer, ces derniers peuvent les expédier vers votre domicile. Il vous suffit juste de faire le paiement en ligne et d’indiquer la quantité dont vous avez besoin.

Les structures à contacter immédiatement

Si vous êtes un particulier qui souhaite sauver à tout prix la vie d’un animal blessé, vous devez contacter un centre de soins autorisé. Bien évidemment, vous n’aurez pas à parcourir plusieurs kilomètres pour procurer de nouveau le bien-être à l’animal. Il vous est conseillé de vous rendre chez le centre de soin pour animaux le plus proche. Un cabinet vétérinaire le plus proche du lieu de découverte de l’animal sauvage blessé vous ouvre aussi ses portes et s’apprête à apporter les soins nécessaires. A noter que, sur le territoire français, il existe environ 40 centres de soins d’animaux sauvages autorisés. Sauver la vie d’un animal blessé est un bon geste. Toutefois, il requiert le respect de certaines règles. Vous devez aussi suivre certaines étapes pour ne pas enfreindre au code de l’environnement. N’hésitez pas à commencer par vous informer sur les démarches à suivre auprès des directions départementales des services vétérinaires, des directions régionales de l’environnement ou des ONCFS.

Connaître les missions des centres de soins pour les animaux sauvages

Différents des cabinets vétérinaires, les centres de soins pour les animaux sauvages sont des établissements d’élevage fondés dans le but de donner les soins nécessaires aux animaux blessés dans le milieu naturel. Seuls ces centres sont autorisés à détenir un animal blessé pendant les soins. Ces établissements doivent, cependant, disposer d’une autorisation d’ouverture ainsi que d’un certificat d’aptitude. L’objectif des centres de soins doit être de soigner les animaux blessés pour les réinsérer, une fois guéris, dans le milieu naturel.

Dans cet article, nous passerons en revue trois métiers de soins animaliers populaires : le toiletteur, le soigneur animalier et l’auxiliaire vétérinaire et l’importance d’une formation assistant vétérinaire, soigneur animalier ou toiletteur adéquate pour exercer ces métiers avec succès.

Le métier de toiletteur

Le métier de toiletteur canin et félin consiste à prendre en charge l’hygiène et l’esthétique de nos animaux domestiques. C’est une profession qui nécessite patience, habileté et minutie. Les toiletteurs sont formés pour effectuer des soins tels que le bain, le brossage, la taille des griffes, le nettoyage des oreilles et le démêlage du pelage, mais également la mise en forme de la fourrure pour les animaux de race.

Le métier de soigneur animalier

Le soigneur animalier est un professionnel qui travaille principalement auprès des animaux sauvages ou domestiques dans des structures telles que les zoos, les parcs animaliers, les réserves naturelles, les centres de reproduction ou les refuges. Il a pour mission de veiller à leur bien-être, de les nourrir, de les soigner et de nettoyer leur environnement. Le métier requiert des connaissances pointues des différentes espèces animales, de leur comportement, de leur alimentation et de leurs besoins spécifiques.

Le métier d’auxiliaire vétérinaire

L’auxiliaire vétérinaire travaille avec le vétérinaire en étroite collaboration. Il est souvent le premier contact entre le propriétaire de l’animal et le cabinet, et joue un rôle essentiel pour l’accueil et la prise en charge des animaux. Les tâches de l’auxiliaire vétérinaire sont très variées : assistance aux soins cliniques, réalisation de certains examens, gestion des stocks, entretien du matériel, conseils aux propriétaires pour la prévention, etc.

Optez pour une formation pratique et théorique

Le choix d’une formation adaptée est essentiel pour développer les compétences nécessaires à l’exercice des métiers de soins animaliers, car aucun diplôme n’est obligatoire pour devenir assistant vétérinaire, soigneur ou toiletteur. Une formation pratique et théorique permet de se familiariser avec les différentes espèces animales, d’apprendre à manipuler et à soigner les animaux, et d’acquérir les connaissances indispensables en matière d’hygiène, de réglementation et de sécurité. Un accompagnement de qualité vous offrira également un soutien dans la recherche de stage et vous aidera à intégrer le marché du travail. De plus, obtenir la certification de l’ACACED ou le BNTC pour les toiletteurs est une preuve supplémentaire de vos compétences acquises.

Le métier de toiletteur, celui de soigneur animalier et la profession d’auxiliaire vétérinaire sont trois professions passionnantes qui permettent d’œuvrer au quotidien pour le bien-être et la santé des animaux. Cependant, chacun de ces métiers demande un certain niveau de compétences et de connaissances spécifiques. La formation représente donc une étape primordiale pour ceux qui souhaitent embrasser ces carrières. En choisissant une formation de qualité et en vous investissant dans votre apprentissage, vous multiplierez vos chances de succès dans ce domaine et participerez activement à l’amélioration de la vie de nos compagnons animaux.

Pour améliorer les conditions de vie

Les personnes non vaccinées peuvent facilement être atteintes par les microbes. Si la population n’est pas protégée, la présence d’un cas permet de contaminer plus que la moitié de la population. Se faire vacciner diminue le risque d’épidémie. La vaccination vous évite alors d’être affecté par des maladies comme la rougeole, la diphtérie, la poliomyélite. Il est donc important que votre entourage soit immunisé pour que certaines maladies ne les affectent pas. Il est indispensable de faire des rappels. La vaccination aide à améliorer les conditions de vie, parce qu’elle nous protège contre certaines maladies courantes et infectieuses.

La vaccination chez l’enfant

La vaccination est recommandée après la naissance. Les jeunes bébés peuvent être atteints par des maladies qui peuvent être graves pour eux. Tel que la coqueluche, la rougeole, les méningites qui peuvent laisser des séquelles chez l’enfant. Il est alors important de vacciner le nourrisson avant qu’il ne rencontre ces maladies. Les parents ou même l’entourage peuvent lui transmettre des maladies. Les anticorps de la mère transmis au cours de la grossesse disparaissent et diminuent. La vaccination les remplace et renforce le système immunitaire de l’enfant. La vaccination est donc bénéfique et très efficace pour les nourrissons et les jeunes enfants. Elle les protège des maladies transmises par d’autres enfants, ou les adultes non vaccinés. Cependant, un enfant non vacciné court un risque plus sérieux qu’un enfant vacciné. Il peut aussi transmettre ces maladies à son entourage, surtout aux personnes vulnérables qui ne peuvent pas être vaccinées.

Comment transmettent-ils une maladie?

Après l’accouplement, le moustique femelle cherche du sang pour s’en procurer les protéines nécessaires à ses œufs. Ce sont donc les femelles qui nous piquent. Les mâles préfèrent plutôt les sucres dans les végétaux.
Par la piqûre, le moustique ingère les bactéries et les virus présents dans le sang d’une personne infectée. Ensuite, en piquant une autre personne, il lui transmet ces bactéries et virus, et la rend à son tour infectée.

Quelles maladies transmettent-ils ?

Depuis la nuit des temps, les moustiques sont source de maladies mortelles. Ils ont fait plus d’un milliard de victimes et plusieurs millions de morts :
Le paludisme est la maladie la plus dangereuse et la plus mortelle au monde. Rien qu’en 2017, il a fait plus de 217 millions de victimes et 400.000 morts. La dengue infecte près de 390 millions de personnes dans le monde chaque année, dont 500.000 sont hospitalisées et 80.000 en sont mortes. Le chikungunya fait 1 mort sur 1000 personnes infectées. Chaque année, la fièvre jaune fait environ 200.000 victimes et 30.000 morts dans le monde. Ils transmettent également la maladie à virus Zika, l’encéphalite japonaise et la fièvre du Nil occidental.

Comment se protéger des moustiques ?

Pendant la nuit, utilisez une moustiquaire avec répulsif anti-moustique. Equipez les pièces de votre maison de diffuseur d’insecticide. Lors d’une sortie nocturne, enfilez des vêtements couvrant les jambes et les bras, et appliquez une crème répulsive.
Les moustiques pondent leurs œufs dans des eaux stagnantes. Couvrez alors les flaques et les réserves d’eau susceptibles d’accueillir les larves de moustiques.

Piroplasmose du chien : comment la reconnaître ?

La piroplasmose provoque différents symptômes chez le chien, à savoir :

• chien abattu ;
• chien qui refuse de se nourrir ;
• chien qui vomit :
• chien qui présente une forte fièvre ;
• chien qui présente des urines de couleurs foncées.

Si votre chien semble amorphe et qu’il ne mange plus après une sortie à la campagne, nous vous conseillons de rapidement consulter votre vétérinaire car les symptômes de la piroplasmose sont parfois difficiles à déceler. Il s’agit d’une véritable urgence pour le chien car la maladie peut être mortelle.

Piroplasmose du chien : la contamination

La piroplasmose du chien se transmet par les tiques. En effet, elles attrapent le parasite en piquant un chien déjà contaminé. Par la suite, elles piquent un autre chien et lui transmettent les parasites à travers leur salive. Lorsqu’ils se retrouvent dans le sang, les piroplasmoses entrent dans les globules rouges pour se multiplier. C’est ainsi qu’ils font éclater et qu’ils détruisent les globules rouges de l’animal. Ce phénomène provoque une forte anémie ainsi qu’une intoxication du foie et des reins à cause des déchets qui proviennent directement des globules rouges détruits.

Bien souvent, les chiens se contaminent lorsqu’ils passent dans des buissons, des haies, des broussailles ou tout simplement en jouant dans l’herbe. Autrement dit, les animaux les plus exposés sont ceux qui passent du temps à l’extérieur mais tous les chiens peuvent un jour ou l’autre contracter la piroplasmose s’ils ne sont pas protégés. C’est pour cela qu’il est primordial de faire vacciner son animal au bon moment. Sachez qu’un chien atteint de piroplasmose n’est pas contagieux ni pour les autres chiens ni pour les hommes.

Piroplasmose du chien : ce qu’il faut savoir

Une étude récente a montré que la piroplasmose du chien se transmet en seulement 8h00 après la morsure de la tique. Les stades de la maladie se développent pendant que la tique attend de trouver un autre animal pour se fixer. Autrement dit, ceux sont les chiens hôtes n°2 qui vont contracter la maladie en quelques heures seulement.
Tout peut donc aller très vite pour le chien. Il est réellement important de réagir au plus vite et de consulter son vétérinaire même pour une simple suspicion. En cas de doute, il ne faut surtout pas hésiter !

Nous insisterons également sur le fait qu’il est nécessaire de retirer les tiques au plus vite avant qu’elles ne commencent à se nourrir. Pour cela, vous pouvez utiliser un antiparasitaire qui agira par contact et qui aura un effet répulsif.

Piroplasmose du chien : le traitement

Le traitement contre la piroplasmose est efficace seulement s’il a été mis en place assez rapidement. Nous vous conseillons donc de réagir au plus vite si vous constatez l’apparition de symptômes inquiétants. Il sera nécessaire d’amener rapidement votre chien dans une clinique ou dans un cabinet vétérinaire. En fonction du stade d’évolution de la maladie, le vétérinaire traitera l’animal avec différentes méthodes :

• injections (pour détruire le parasite) ;
• perfusions (pour réhydrater l’animal) ;
• transfusions (pour compenser le manque de globules rouges).

Piroplasmose du chien : la prévention

Il existe plusieurs façons de protéger son chien pour qu’il ne contracte pas la piroplasmose. Et cela passe surtout par de la prévention.

Les anti-parasitaires

Les produits anti-parasitaires sont la solution la plus efficace pour une réelle prévention contre la piroplasmose du chien. En effet, le produit va détruire la tique avant même qu’elle ne puisse injecter l’agent de la maladie dans l’organisme du chien. Les anti-parasitaires sont disponibles dans les pharmacies, dans les cliniques vétérinaires ou tout simplement dans votre cabinet vétérinaire habituel. Ils se présentent sous différentes formes :

• les pipettes ;
• les colliers ;
• les sprays.

Il est nécessaire de les appliquer pendant toutes les périodes à risque. En effet, le chien peut être en danger au printemps et à l’automne et cela même s’il est vacciné.

La vaccination

Pour finir, il faut savoir qu’il existe un vaccin contre la piroplasmose. Il n’est pas efficace à 100% et il peut revenir cher mais il reste un moyen de protéger votre animal. En effet, il est surtout intéressant pour les jeunes chiens. N’hésitez pas à en parler avec votre vétérinaire lors de votre prochain rendez-vous.

Les signes d’un hamster malade

Un hamster malade devient beaucoup moins vivace que d’habitude. Il ne bouge pas beaucoup. Sa démarche reste hésitante ou claudicante. Le dos prend une allure plus courbée. Son intérêt pour la nourriture diminue. L’animal boit moins d’eau ou au contraire, il en avale nettement plus qu’à l’accoutumée. Une selle molle sera aussi un signe d’une maladie. Parfois, la diarrhée survient. Vous pourrez observer que les poils près de la queue sont constamment mouillés. Il arrive également que le rongeur rencontre des épisodes de constipation. Dans certains cas, la tuméfaction finit par apparaitre sur l’animal. Les bosses se forment sur les membres ou le corps. Le hamster peut perdre ses poils de manière localisée ou générale. Les incisives deviennent trop longues. L’écoulement nasal et l’éternuement s’ajoutent à la longue liste des symptômes possibles.

Quelques faux symptômes à reconnaitre

Les gonflements sur les côtés d’un hamster peuvent venir de l’activité des glandes. Il ne s’agit aucunement de tumeurs ni des lésions. Le phénomène des grosseurs inhabituelles concerne essentiellement les hamsters dorés. Ces derniers ont des testicules anormalement volumineux pendant la saison des amours. Dans certains cas, le souci vient d’une simple déshydratation ou de malnutrition. Pour connaitre que votre animal de compagnie manque d’eau, il suffit de le pincer doucement au niveau des épaules. Si la partie touchée ne reprend pas rapidement sa forme initiale, c’est que le rongeur doit boire beaucoup plus qu’il le fait actuellement. Une alimentation inadaptée peut aussi se montrer par la queue mouillée. C’est le signe d’une diarrhée, mais pas seulement. L’animal stressé présente aussi le même symptôme.

Zoom sur la maladie de Lyme

Heureusement, la maladie de Lyme n’est pas contagieuse même si elle est causée par la morsure d’une tique porteuse de la maladie : il peut s’agir des puces, des moustiques, etc. Cette maladie est présente dans les zones humides ou se trouvant à proximité des marécages ou de la forêt. Connaître les symptômes vous permettra d’avertir immédiatement le vétérinaire. Les symptômes n’apparaissent cependant qu’après une à deux semaines d’incubation : perte inexpliquée de poils, peau présentant des écailles, perte de poids anormale, fièvre, fatigue permanente, etc. Si aucun traitement n’est apportée au bout de quelques mois, les symptômes sont plus importants : paralysies, douleurs au niveau de l’articulation, problèmes cardiaques, problèmes de vue, stress et anxiété, avortement si l’animal est enceinte, voire impossibilité à tomber enceinte, etc.

Comment agir contre la maladie de Lyme

Avant de se prononcer, le vétérinaire réalise le diagnostic : plusieurs examens sont nécessaires notamment la prise de sang. Cela évite toute confusion avec d’autres maladies dont la myopathie et la leptospirose. Lorsqu’il s’agit bien de la maladie de Lyme, le cheval est soumis à un traitement antibiotique qui peut durer un mois. A cela s’ajoute de l’anti-inflammatoire non stéroïdien. Parfois, des effets secondaires peuvent apparaître pendant le traitement. Dans ce cas là, n’hésitez pas à prévenir le vétérinaire qui a prescrit les traitements, surtout si les effets secondaires sont plus importants. La maladie de Lyme est récidive, restez vigilant et surveillez de près votre cheval et faites en sortes que le traitement soit terminé jusqu’au bout.

La piroplasmose

C’est une maladie parasitaire causé par les piroplasmes. Ces parasites s’attaquent aux cellules des hématies et des érythrocytes. Indirectement, il n’y a pas de contagion de la maladie, mais elle se transmet mécaniquement via les insectes, plus exactement par les tiques.

L’amaigrissement du cheval

L’origine de la maladie reste très varié allant d’une simple infection parasitaire jusqu’à la tumeur. Il s’agit d’une perte de poids très conséquente et graduelle. Dès l’apparition de ce symptôme, il faudrait immédiatement emmener l’animal chez un vétérinaire afin de faciliter le diagnostic.

Le cushing

C’est une maladie d’origine hormonale donnant à l’animal un aspect cotonneux et touffue. Au début, les symptômes sont difficilement détectables. Toutefois, on peut noter la paraisse chez l’animal, suivi d’une perte de poids. Si la maladie persiste, les symptômes sont nettement plus visibles par une poussée excessive des poils.

Myopathie atypique

C’est une maladie qui peut arriver brusquement, car elle est due généralement à une intoxication alimentaire du cheval, notamment par la consommation excessive de rameau ou d’autres espèces végétales toxiques. A l’heure actuelle, il n’existe pas encore de remède à cette maladie. La détection des symptômes qui sont principalement la présence d’urine de couleur foncée, des yeux rouges et l’affaiblissement du cheval.